La mort du cinéma et de mon père aussi

La mort du cinéma et de mon père aussi

Réalisé par : Dani Rosenberg
Date de sortie : 4 août 2021

La critique Cinéphiles 44 :
Asaf est un jeune réalisateur. Son prochain film prédit que Tel-Aviv est sur le point d’être bombardé. En parallèle, son père est sur le point de mourir. Dans une tentative de figer le temps, Asaf offre un rôle à son père dans le film. Offrir est un grand mot, car le vieux père a juste envie que son fils le laisse tranquille et qu’il trouve un vrai boulot. Voici ce que nous avons cru comprendre de “La mort du cinéma et de mon père aussi”. En effet, il n’est pas tout à fait simple de suivre l’intrigue du long-métrage qui combine des scènes d’archives, des cassettes vidéos de courts métrages, la réalité de la fiction et les rushs du film tourné dans le film. A force de balader dans tous les sens, l’histoire perd en intimité et la tragédie familiale perd toute son essence.

4/10

Un commentaire Ajoutez le vôtre

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s